Le gouvernement capverdien et l’Université de Trás-os-Montes e Alto Douro (UTAD) ont signé un protocole qui met les nouvelles technologies au service de l’entraînement et de l’évaluation dans le sport de haut niveau de l’archipel.

Ce protocole a été signé ce lundi lors d’une visite de Carlos do Canto Monteiro, ministre adjoint du Premier ministre pour la Jeunesse et le Sport de Cabo Verde, à Vila Real.

« Des méthodes scientifiques et des ressources technologiques utilisées dans l’évaluation de la performance sportive et de la santé des athlètes » seront appliquées « dans l’identification et le développement de talents sportifs, mais aussi dans la formation et la qualification des entraîneurs », a expliqué l’UTAD.

Les ressources incluent « des outils d’analyse et d’interprétation de données déjà utilisés dans des partenariats institutionnels de l’UTAD avec des clubs, des fédérations et des centres de haut niveau » et qui pourront désormais être appliqués « dans la pratique des athlètes capverdiens de haut niveau, contribuant à leur performance et à leur évolution continue ».

Carlos do Canto Monteiro a exprimé son espoir que ce protocole garantisse que « le talent, allié au travail et à la formation, se traduise par des succès durables », en d’autres termes, « un pas décisif » pour l’avenir du sport au Cabo Verde.

Le recteur de l’UTAD, Emídio Gomes, cité par Lusa, a qualifié cet accord d’« exemple de réussite » de l’engagement de l’université envers la lusophonie, « non seulement par l’accueil d’étudiants », mais aussi par la « coopération académique et scientifique ».

Opinion Sportive

Il est intéressant d’observer la manière dont le Cabo Verde s’engage dans l’intégration des nouvelles technologies dans le domaine du sport. Cette initiative pourrait avoir un impact considérable sur le développement des athlètes locaux, et témoigne d’une volonté de stimuler non seulement les performances individuelles, mais également de créer un écosystème durable autour du sport. En alliant formation et sciences du sport, ce protocole semble préparer le terrain pour construire une culture sportive solide et compétitive, bénéfique tant pour les athlètes que pour l’ensemble du paysage sportif du pays.




Source image(s) : www.forbesafricalusofona.com

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