Le vendredi 11 octobre, la Faculté d’Histoire, de Géographie et de Sciences Politiques de l’Université Catholique du Chili (UC Chile), en collaboration avec la Faculté des Sciences Sociales et la Faculté de Littérature, a officiellement intégré l’Alliance Mondiale des Humanités.
Cette initiative vise à rehausser le profil global et l’impact social et politique des humanités et des sciences sociales, en mettant l’accent sur un programme de recherche et d’enseignement abordant des enjeux mondiaux. Ce programme favorise l’inclusion de perspectives diverses et encourage des discussions critiques entre académiciens et étudiants.
L’alliance comprend également sept autres universités :
Selon la déclaration d’adhésion, la valeur fondamentale de l’Alliance Mondiale des Humanités (GMH) est que “en combinant nos forces complémentaires et distinctes, nous pouvons mieux répondre aux enjeux mondiaux clés et illustrer l’impact que les humanités, les sciences sociales et les arts libéraux peuvent avoir sur le monde.”
De plus, cette alliance a pour objectif de renforcer les échanges et la collaboration entre académiciens et étudiants autour de quatre grands axes thématiques :
- Humanités publiques
- Soutenabilité et changement climatique
- Démocratisation des savoirs
- Transformations numériques
La cérémonie de lancement s’est tenue à l’Université de Manchester, où l’UC Chile était représentée par Umut Aydin, Directeur de l’Institut de Sciences Politiques, ainsi que deux enseignants de la Faculté d’Histoire, de Géographie et de Sciences Politiques : Jonathan Barton, de l’Institut de Géographie, et Ximena Illanes, de l’Institut d’Histoire.
Notre Opinion Tech
Il est essentiel de reconnaître que la collaboration internationale en matière de recherche et d’enseignement, comme le propose l’Alliance Mondiale des Humanités, pourrait révolutionner notre approche face aux défis globaux. La diversité des perspectives et l’accent mis sur des thématiques cruciales tels que le changement climatique et la décolonisation des savoirs sont des atouts indéniables pour les futures générations d’étudiants et d’académiciens. En tant qu’observateur de l’évolution des sciences humaines, je crois que cette initiative pourrait catalyser des synergies innovantes, favorisant ainsi une compréhension mutuelle et un dialogue enrichissant sur des enjeux mondiaux.